C'était un compte à rebours, une occasion, un doux délire.

C'était un espace de liberté, un lieu néo-punk-paillette qui n'a connu de limite que son obsolescence programmée : ouvert en octobre 2017, on a tout remballé en avril !

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824heures durant, c'est parti à vau l'eau et dans tous les sens mais avec toutefois une vision bien nette : s'affranchir des codes, retrouver la liberté dans la fête, sortir du carcan des genres, l'envoyer valser et finalement danser avec sur un air d'operette.

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Plus qu'un bar de nuit, 824heures c'était un quartier général pour une famille délurée, un lieu de rassemblement sans étiquette, ouvert à tous, à ceux qui n'en voulaient qu'à la fête, à l'excès, à l'amour et à la liberté.

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Avec une direction artistique totalement repensée par le collectif Camion Bazar, ce projet éphémère hors des sentiers battus de la nuit parisienne a été porté par A Nous Paris, Bonjour Bonsoir, Les Niçois et Sapin Blossom. Après 7 mois de nuits endiablées, de résidences et de concerts live, le 824heures a fermé ces portes à l'issue de 48 heures de fête ininterrompue dont la totalité des recettes a été reversée à l'association Les Eveillés qui œuvre pour aider les exilés.